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Actes des rencontres pour l’action culturelle et artistique

septembre 2000

Prendre conscience de la place de l’art dans nos vies

Rencontres en Rhône-Alpes : 8 et 9 janvier
Introduction par Jean Caune et Gérard David

Atelier 1 : De la commande à la pratique, les relations entre les institutions et les créateurs locaux
(modérateur : D. Bénichou)

Atelier2 : Quel processus ces pratiques artistiques mettent elles en oeuvre avec les populations concernées ?
(Alix de Morant)

Atelier 3 : Quelles sont les définitions de l’art sous jacentes à de telles pratiques ?
(Ph. Henry)

Témoignage de Michaël Haerdter
Synthèse par Patrick Champagne

Bilan. Pérennisation du réseau Agir par Nicolas Roméas.

Rencontres en Aquitaine : 15 et 16 avril
Accueil par Nicolas Roméas.
Introduction par P. Nicolas-Le Strat.

Table Ronde 1 : Pratiques culturelles et artistiques à l’intersection art-société.
(Philippe Méziat)

TR2 : Rapport aux publics et aux populations concernées.
(Jean-Jacques Delfour)

TR3:Quels processus ces pratiques artistiques mettent elles en oeuvre dans leurs relations aux institutions ?
(J-P Rathier)

TR4 : Quelles sont les définitions de l’art sous-jacentes à ces pratiques ?(Ph. Henry)

TR5 : De nouveaux lieux et espaces pour des pratiques du troisième type, mélange des genres, interdisciplinarité.
(Valérie de Saint-Do)

TR6 : Formation, transmission
(Philippe Méziat)
Synthèse des débats

Les actes des rencontres pour l’action culturelle et artistique

Extrait de l’éditorial

« Nous sommes heureux de poursuivre ce travail entamé en mai 1999 au Théâtre Gérard Philippe de Saint-Denis et qui nous a d’ores et déjà permis de poser un certain nombre de grands axes de travail autour de la question de l’art dans la société contemporaine. Il s’agit maintenant d’approfondir la question en s’appuyant sur des expériences très précises sur un territoire – même si nous sommes également soucieux d’ouvrir notre réflexion à l’Europe. L’une des choses que nous pouvons apporter à un débat territorial c’est précisément une certaine distance qui permet sans doute aux acteurs d’une région de se connaître et de s’entendre mieux en de replaçant au niveau de grands enjeux communs.

Le chantier qui s’ouvre devant nous est ambitieux. Il s’agit, après au moins une décennie de « socioculturel », de dévalorisation de la proximité entre l’art et les questions surgies de la société contemporaine, de relégitimer le travail d’artistes et de travailleurs sociaux qui souhaitent créer une passerelle entre deux univers qui devraient n’en faire qu’un. »

Nicolas Roméas